Sur le résultat recherché
Je crois qu’aucun entraineur ne va sur un stade pour jouer le match nul. Tous les entraineurs vont sur le stade avec l’intention de remporter le match. C’est ma position à moi, en allant jouer demain contre le Burkina, c’est pour gagner le match. Donc, ça doit être clair au niveau de tout le monde, au niveau des joueurs, des supporters, nous allons aborder ce match pour le remporter.
Sur les choix
Lorsqu’on met une équipe en place pour un match, il y a des critères suffisamment objectifs et techniques qui nous amènent à faire des choix. Je vous ai dit la dernière fois que Jacques n’a pas pu être là parce qu’il avait une douleur musculaire à la cuisse. C’est pour cela qu’il n’a pas joué le dernier match. Et je vous ai en même temps dit que le staff médical s’occupait de lui pour qu’il nous revienne rapidement.
Sur le cas Yannick Ndjeng
Concernant Ndjeng, je pense que ça fait également partie des choix d’un entraineur. On voit parmi les avant-centres, celui qui est le plus apte par rapport à tel match. Donc, il n’y a pas de préférence entre ce que vous estimez être des anciens et les autres. On regarde la forme que présente le joueur pour tel match et on l’aligne.
Le jeu collectif
Nous sommes dans un sport collectif, ce qui signifie évidemment qu’on met l’accent sur le collectif mais à l’intérieur, il y a des individualités qui peuvent apporter, qui peuvent faire la différence à un moment du match. Le plus important, c’est le collectif. Il y a onze joueurs sur le terrain qui travaillent ensemble pour un même objectif. Dans la préparation du match, on met tous ces éléments ensemble pour que l’équipe puisse donner le maximum et remporter le match.