Après avoir longtemps résisté face au Brasseries du Cameroun, vous prenez ce but vers la fin. Il y a de quoi être déçu!
Vous savez, ce sont des équipes qui se connaissent d’abord. Vous avez vu que tactiquement, le match était un peu équilibré. Et parce qu’on se connaissait, vers la dernière minute, nous avons eu des occasions que nous n’avons pas pu concrétiser mais ils ont eu le leur et ont marqué.
Est-ce que vous êtes tout de même satisfait du jeu produit par vos poulains?
Jusqu’à présent, nous sommes déjà satisfaits de la performance des enfants. On a vu les petits défauts que nous avons et avec le travail, on va essayer d’améliorer. Vous savez, quand on vient à un tournoi, c’est une évaluation et après, à la fin du tournoi, on verra ce qui n’a pas marché et ce qui a marché et en fonction de cela, on va voir comment faire.
Quelles sont vos ambitions cette année dans ce tournoi?
D’habitude, on a toujours été stoppés à la demi-finale mais cette fois-ci, on essaie de se battre pour voir ce que la dernière journée pourra nous dire. Mais nous avons quand même espoir que notre cap, c’est les demi-finales, donc, on doit se battre jusqu’à ce niveau avant de voir la suite.
Après avoir regardé les autres matches de la journée, comment jugez-vous le niveau de l’Easter Cup cette année?
Pour moi, le niveau n’est pas mauvais et les matches ne se ressemblent pas aussi. Tu peux faire un bon match aujourd’hui et faire un mauvais match demain. Dans notre poule, j’ai vu les autres jouer mais ce n’était pas assez solide mais, tu ne sais jamais ce qui peut arriver le lendemain. Tu peux mieux te comporter pour ce match et le lendemain, il y a un problème psychologique, le match devient une autre chose. Pour les deux autres adversaires, on se dit qu’on peut les prendre.